Depuis que son fils est mort en avril, Joseph Fourre est en mission : il veut que les gens sachent que maintenant le fentanyl est partout, qu’aucune drogue n’est sécuritaire. C’est dans cet objectif qu’il a organisé une marche dimanche à Winnipeg.
La « production peu coûteuse, rapide et facile » des drogues de synthèse a profondément transformé de nombreux marchés dans le monde, a averti l’ONU dimanche en pointant des « conséquences désastreuses »
« La Ville de Toronto attend toujours le feu vert de Santé Canada pour pouvoir décriminaliser la possession simple de drogues sur son territoire. »
La consommation d’alcool sera autorisée sous peu aux tables à pique-nique de tous les parcs de Sherbrooke.
Dépendant aux opioïdes depuis des années, Martin, 45 ans, a déjà vu le mortel et addictif fentanyl remplacer l’héroïne à New York. Il veut désormais aussi éviter de tomber dans le piège de la « tranq », un cocktail de substances qui peut provoquer d’horribles blessures sur la peau et compliquer les surdoses.