Les surdoses font des victimes inattendues au Québec
La Santé publique fait fausse route en parlant d’une crise des opioïdes, disent des organismes.
La Santé publique fait fausse route en parlant d’une crise des opioïdes, disent des organismes.
Portes tournantes, fermées ou inexistantes. Rupture de service, trou noir, néant. Stigmatisation. Bureaucratie. Autant de mots pour décrire les barrières que rencontrent les personnes vivant à la fois avec des problèmes de toxicomanie et de santé mentale lorsqu’elles tentent de chercher de l’aide.
La Direction régionale de santé publique (DRSP) de Montréal a récemment reçu le signalement d’un décès «probablement» causé par l’ingestion d’isotonitazène.
La détresse et l’anxiété qui viennent avec les restrictions sanitaires, particulièrement en ce moment de l’année où la lumière se fait rare et où la population est isolée, sont en progression, montre un sondage de l’Ordre des psychologues.
La difficulté en approvisionnement de drogues en temps de pandémie diminue la qualité des produits vendus sur le marché, mettant ainsi davantage en danger les consommateurs, préviennent des spécialistes.