Un projet qui inquiète le voisinage
« Un projet de centre supervisé de consommation de drogue, près d’une école primaire et d’un parc du quartier Saint-Henri, à Montréal, soulève colère et appréhension »
« Un projet de centre supervisé de consommation de drogue, près d’une école primaire et d’un parc du quartier Saint-Henri, à Montréal, soulève colère et appréhension »
« La vente ou la possession de champignons magiques, également connus sous le nom de psilocybine, offrant des effets psychédéliques est illégale au Canada. »
« L’organisme VANDU, qui défend les droits des toxicomanes, s’inquiète des nouvelles modifications qui seront apportées au projet pilote de la décriminalisation de drogues dures en Colombie-Britannique, entré en vigueur le 31 janvier dernier. »
Pas moins de 35 % à 65 % des jeunes filles hébergées en centre de réadaptation et suivies sous la Loi de la protection de la jeunesse rapportent avoir déjà fait de la prostitution, selon des données préliminaires d’une étude réalisée dans trois régions du Québec, dont Laval. Chez les garçons hébergés, ce pourcentage se situe entre 13 % et 25 %.
Un projet de centre supervisé de consommation de drogue, près d’une école primaire et d’un parc du quartier Saint-Henri, à Montréal, soulève colère et appréhension dans son voisinage, alors que la crise de l’itinérance et des surdoses provoque de difficiles cohabitations avec les personnes marginalisées dans plusieurs secteurs de la métropole.