« Ça fait 15 ans que je suis dans le coin du Palais des congrès et, pour moi, c’est du jamais-vu », raconte Élise, une itinérante. « La violence, la maladie mentale, la drogue, les cris, l’achalandage… c’est le pire été. » Elle s’apprête à changer de secteur. « Je ne suis plus capable d’être ici, parce que le monde est trop fou dans le coin », lance-t-elle.

Des épiceries torontoises ont cessé de vendre de l’alcool faute de profit, une décision qui suscite des sentiments partagés parmi les consommateurs de la Ville Reine.

On connaît bien les Alcooliques Anonymes, mais un peu moins les Narcotiques Anonymes. La fraternité est pourtant présente au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Pour se faire connaître, elle a organisé des portes ouvertes à la Cathédrale de Chicoutimi samedi.

La Ville de Montréal admet faire face à « une grosse crise », « particulière » et « solide », alors que les conflits entre résidents et itinérants se multiplient dans la métropole aux abords des refuges et services.

À peine une vingtaine de personnes ont fait tester leur drogue à l’unité mobile de la coopérative de solidarité SABSA pendant le Festival d’été de Québec. Aucune substance contaminée par des opioïdes n’a été détectée au cours de l’opération.