La proportion des élèves des écoles secondaires qui consomme des substances psychoactives a diminué au cours des deux dernières décennies. Malgré cette baisse, le travail des policiers, lui, ne diminue pas. Leur rôle est crucial dans les écoles secondaires, dit l’Association des directeurs de police du Québec (ADPQ).

Les communautés innues de la Côte-Nord et la communauté de Wendake, à Québec, ont marché lundi pour dénoncer les ravages des drogues. Cette démarche s’inscrit dans la Semaine nationale de sensibilisation aux dépendances.

Toutes ces sordides affaires ont un point commun : des hommes ont eu recours à la soumission chimique — que l’Office québécois de la langue française définit comme une « coercition consistant à administrer, en vue de commettre un acte criminel ou un délit, un médicament, une drogue ou une substance ayant des propriétés psychoactives, à son insu ou sous la menace — pour abuser sexuellement de femmes.

Québec et Ottawa s’attaquent aux ravages causés par la consommation de drogues illégales et toxiques ainsi qu’aux surdoses, qui causent de plus en plus de dommages. Les deux gouvernements accordent une aide de 700 000 $ sur quatre ans au centre Le CAP Estrie de Sherbrooke.

Un centre de gestion du sevrage de 36 lits a ouvert récemment dans le centre-ville de Toronto. L’établissement accueille des gens qui ont besoin d’aide pour retrouver la sobriété après avoir consommé de la drogue ou de l’alcool, et leur offre des services de thérapie.