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Vos questions, notre expertise

Vos questions et nos réponses peuvent non seulement vous aider en toute confidentialité, mais aussi aider d’autres personnes qui vivent des situations similaires à la vôtre.

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L’équipe qui répond à vos questions est formée de :

Anne Elizabeth Lapointe, directrice générale de la Maison Jean Lapointe
Béatrice Beaucage, M. Ps., psychologue, Maison Jean Lapointe

03 Déc 2017
Métamphétamine Femme, 18 - 25 ans
Jeune fille de 26 ans qui consomme du speed, demeurant chez sa mère au sous-sol et y passe une grande partie de la journée, soit à dormir ou à être […]
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Jeune fille de 26 ans qui consomme du speed, demeurant chez sa mère au sous-sol et y passe une grande partie de la journée, soit à dormir ou à être sur son I-Pad, n’a pas d’emploi et veut pas aller travailler, veut pas aller chercher son permis de conduire, ayant un trouble de déficit d’attention et ayant toujours besoin d’un compagnon à ses cotés (souvent qui n’ont pas d’emploi et pas de voiture et qui consomment), fait des énormes crises, brise les murs et la porte de chambre. Une mère qui a un grand cœur et qui essaie d’aider sa fille et qui ne sait plus quoi faire et un conjoint qui est parti qui n’est pas le père, qui me dit que c’est pu vivable et que je dois demander de l’aide. Cela fait au moins 5 ans que cela dure. Quoi faire?

Pénélope, 18 - 25 ans, F
Ville-Marie
Réponse de Toxquebec:

Il est toujours difficile d’être parent d’une personne toxicomane, et votre sentiment d’impuissance est compréhensible. Mais vous devez sans tarder aller chercher de l’aide pour vous-même, soit dans un groupe d’entraide pour proches de toxicomanes (de type «Al-Anon»), soit dans un centre de réadaptation, de nombreux centres offrent des services d’aide et conseils à la famille (voir notre section «Trouver de l’aide»). Une personne toxicomane a souvent besoin de conséquences pour devenir motivée à s’en sortir, et vous ne lui rendez pas service en tolérant ses comportements abusifs. Consultez notre section «Trouver de l’aide» pour les services disponibles dans votre secteur.

Bonne chance!

Toxquebec

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08 Nov 2017
Médicaments Femme, 26 - 35 ans
Je prends depuis février 2017 du Zolpidem, le médicament est censé être pris au coucher mais je le prends dans l’apès-midi. Y a-t-il des effets de sevrage? Peut-il être remplacé […]
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Je prends depuis février 2017 du Zolpidem, le médicament est censé être pris au coucher mais je le prends dans l’apès-midi. Y a-t-il des effets de sevrage? Peut-il être remplacé par autre chose pour diminuer l’effet de sevrage s’il y en a?

Alexe, 26 - 35 ans, F
La Sarre
Réponse de Toxquebec:

Il est déconseillé de prendre ce médicament sur une période prolongée. Étant un somnifère puissant, il est normalement prescrit uniquement au coucher pour traiter l’insomnie sévère de façon transitoire, normalement on ne doit pas excéder 7 à 10 jours d’utilisation continue. Son usage est risqué pendant le jour (par exemple pour la conduite automobile).

Votre consommation de ce médicament est donc problématique. C’est une classe de médicaments reconnue pour causer une dépendance et mener à l’abus, et les effets de sevrage après une consommation prolongée peuvent être importants. Consultez un médecin pour qu’il vous prescrive un protocole de sevrage avec supervision médicale, et qu’il vous prescrive des médicaments de substitution pour atténuer les effets de sevrage.

Bonne chance !

Toxquebec.com

Source :
sante.canoe.ca

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15 Oct 2017
Alcool Femme, 46 - 60 ans
Un membre proche de ma famille est alcoolique. Je ne sais pas quoi faire pour l’aider. Elle a deux enfants en bas âge. Je l’écoute souvent mais je me suis […]
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Un membre proche de ma famille est alcoolique. Je ne sais pas quoi faire pour l’aider. Elle a deux enfants en bas âge. Je l’écoute souvent mais je me suis enragée contre elle aujourd’hui parce qu’elle ne semble pas réaliser la gravité de la situation, ou bien elle est incapable d’agir. Je crois qu’elle voit une psychologue mais ça ne semble pas assez. Elle m’a appelé en crise 4 fois dans les derniers 3 semaines. Avez des suggestions? Des ressources pour nous?

Angela, 46 - 60 ans, F
Montréal
Réponse de Toxquebec:

Il est toujours difficile d’être un proche d’une personne alcoolique qui nie le problème, et votre sentiment d’impuissance est compréhensible. Il est difficile d’aider une personne alcoolique à s’en sortir si elle-même refuse de reconnaître son problème. N’hésitez pas à la confronter à vos sentiments face à sa situation et votre préoccupation pour ses enfants, et à l’encourager à aller chercher de l’aide spécialisée dans un centre de réadaptation ou un groupe d’entraide (voir notre section «Trouver de l’aide»). Vous pouvez même offrir de l’accompagner à une rencontre d’Alcooliques Anonymes, ou demander son consentement à entrer en contact avec sa psychologue pour partager vos inquiétudes avec celle-ci.

Si vous avez la moindre inquiétude concernant sa capacité à prendre soin de ses enfants ou si son alcoolisme compromet leur sécurité, n’hésitez pas à la confronter à ce sujet, et à partager vos inquiétudes avec ses autres proches, voire même à envisager un signalement à la D.P.J. si la situation l’impose et qu’aucun changement ne survient.

Bonne chance!

Toxquebec.com

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