La réduction de notre consommation d’alcool ne peut plus être vue comme une mode passagère : c’est une vague de fond qui trouble les brasseurs, mais qui est, pour certains, une formidable occasion d’affaires.

Pour la plupart des gens, la drogue du viol se résume au GHB, une substance liquide parfois aussi consommée de manière consentante et récréative. Or, une kyrielle de drogues (des centaines, apprend-on!), peuvent être versées dans des verres à l’insu des victimes, des femmes pour la quasi-totalité.

Après la Société d’assurance automobile du Québec (SAAQ) et les coroners, c’est au tour de la Sûreté du Québec (SQ) de pencher en faveur de la réduction de l’alcoolémie permise au volant de 0,08 à 0,05, puisqu’il pourrait y avoir ainsi de 10 à 14 morts de moins par année sur la route.

Après avoir fait des ravages aux États-Unis, la « drogue du zombie » se taille peu à peu une place au Québec. Tristement célèbre pour les plaies qu’elle laisse à ses consommateurs, la xylazine est souvent utilisée pour couper d’autres drogues et augmente le risque de surdose.

Le futur salon de jeux de Rimouski de Loto-Québec ne sera pas le dernier. La société d’État veut multiplier l’implantation de ces mini-casinos dans les régions du Québec.