Les lois sur la drogue en Saskatchewan connaissent un tournant. Face à l’augmentation des surdoses liées au fentanyl et à la méthamphétamine, la province explore de nouvelles mesures pour lutter contre la toxicomanie, dont l’introduction du traitement involontaire. Mais experts et défenseurs des libertés s’interrogent sur l’efficacité de ce modèle.

L’administration du président américain, Donald Trump, qui presse le Mexique d’endiguer le trafic de fentanyl vers les États-Unis, menace de recourir à des frappes de drones contre les cartels pour perturber leurs opérations.

Des injections hebdomadaires de sémaglutide réduisaient l’envie d’alcool, la quantité d’alcool consommée et la fréquence des jours de forte consommation chez des adultes présentant des symptômes de trouble de l’usage de l’alcool. Sur la photo, une boisson alcoolisée dans un établissement de Halifax en 2018.

Un rapport de l’Association pour la santé publique au Québec critique ce qu’elle qualifie de banalisation de l’alcool dans la province. Anne-Élizabeth Lapointe, directrice générale de la Maison Jean Lapointe, abonde dans le même sens.

À l’entrée de la communauté abénakise de Wôlinak est apparue dernièrement une grande affiche colorée, arborant une feuille de cannabis. La publicité annonce l’ouverture au printemps d’un commerce de vapoteuses à cannabis, bien connues des jeunes sous le nom de wax pens. Ce type de cigarette électronique est illégal au Québec, en raison de sa concentration trop élevée de THC.