Gros plan sur une avancée majeure
Un nouvel antidouleur, moins susceptible d’entraîner la dépendance que les opiacés, a été approuvé en janvier aux États-Unis, pendant qu’un chercheur québécois a fait une découverte semblable.
Un nouvel antidouleur, moins susceptible d’entraîner la dépendance que les opiacés, a été approuvé en janvier aux États-Unis, pendant qu’un chercheur québécois a fait une découverte semblable.
Le jeune homme qui a été retrouvé sans vie l’an passé dans le bassin olympique à proximité du site où se déroulait le festival Osheaga, l’an dernier, est mort noyé après avoir consommé des champignons «magiques» et du cannabis, révèle le rapport du coroner.
Les agents de la Gendarmerie royale canadienne (GRC) se sont rendus sur la rue des Alouettes en avant midi afin de saisir 10 000 comprimés pharmaceutiques contrefaits qui s’apparentent à des opiacés.
Après un nombre record de 1873 morts par surdose en Alberta en 2023, les autorités se targuent d’une réduction de 39 % des décès en 2024. Pour le gouvernement, c’est le signe que son modèle axé sur le rétablissement – qu’il cherche à exporter partout au pays – fonctionne. Pour des intervenants en santé, il s’agit plutôt d’une baisse circonstancielle qui ne reflète pas l’ampleur des défis sur le terrain. Incursion au cœur du modèle albertain.
Une avancée dans l’industrie pharmaceutique au Québec : une entreprise de Saint-Hyacinthe lance une naloxone 100 % québécoise, un médicament qui permet de sauver des vies et qui est plus rapide à administrer aux victimes de surdoses qui sont de plus en plus nombreuses.