Après avoir affronté quelques vents de face au cours des dernières années, Éduc’alcool — qui a pour mission d’informer et de sensibiliser les Québécois sur les saines habitudes de consommation d’alcool — fait de gros changements dans sa gouvernance et prend ses distances avec l’industrie des boissons alcoolisées.

À Winnipeg, plusieurs divisions scolaires vont mettre à la disposition de leur personnel des trousses de naloxone, un médicament administré en cas de surdose d’opioïdes.

Les derniers sites de consommation supervisés de Toronto affirment qu’ils connaissent un plus grand achalandage depuis que la province a forcé la fermeture de quatre des sites dans la Ville-Reine il y a deux mois.

Création de mini-agences urbaines, fermeture de succursales et livraison à domicile : la Société des alcools du Québec (SAQ) multiplie les chantiers ces derniers temps afin de freiner la chute des ventes et la baisse de ses profits. On fait le point avec Jacques Farcy, président et chef de la direction de la société d’État.

Les Québécois consomment de moins en moins d’alcool et les résultats de la Société des alcools du Québec (SAQ) en pâtissent. Pour une deuxième année de suite, les ventes en volume ont reculé, entraînant cette fois-ci une baisse des profits — une première en quatre ans.